Le nouveau Lapierre Crosshill CF est un virage pris par la marque en terme de vélo gravel. Premier gravel en carbone de la marque, il est plus léger, plus réactif et conçu pour des performances, mais aussi pour du confort à long terme. Il se destine aux cyclistes cherchant vitesse et polyvalence sur tous les terrains.
C’est avec ce vélo que Clément a établi le nouveau record de la GTJ Gravel sur la trace officielle.
Ce vélo a été élu gravel de l’année par le magasine Le Cycle.
Le Lapierre Crosshill CF inaugure un cadre entièrement en carbone UD SL, combinant légèreté et rigidité, comme les modèles route.
Grâce à la technologie 3D Tubular (qu’on retrouve aussi sur le nouveau Pulsium), le cadre offre une excellente absorption des vibrations, un atout majeur sur les longues distances et les terrains accidentés.
Cette innovation est renforcée par les haubans Flexstays, qui participent à améliorer le confort sans sacrifier la réactivité.
La géométrie du vélo a été repensée pour offrir une position plus dynamique. Avec un tube supérieur raccourci et un angle de selle plus redressé, le cycliste adopte une posture efficace pour maximiser chaque coup de pédale. Le cadre intègre également une compatibilité avec des pneus allant jusqu’à 700×45 mm, une caractéristique appréciable pour les terrains les plus exigeants ou simplement pour augmenter le confort global.
UN GRAVEL RAPIDE ET POLYVALENT
Dès les premiers kilomètres, le Lapierre Crosshill CF impressionne par sa réactivité et sa fluidité. Sur route (avec des roues de route), il est capable de maintenir des vitesses élevées, rivalisant presque avec un vélo de route pur, j’ai pu le trster dans cette configuration lors d’un voyage d’une semaine. Lorsqu’on repasse sur des terrains accidentés, la combinaison du cadre en carbone et des pneus larges offre une excellente absorption des chocs et une maniabilité remarquable.
Le Crosshill excelle particulièrement sur les terrains rapides et roulants où on profite de la faible masse de l’ensemble cadre/roues et de la relative rigidité latérale du vélo.
Le confort est indéniablement supérieur au Crosshill en aluminium, le lay-up spécifique de la version carbone fait ici son travail à merveille. De quoi enchaîner les kilomètres!
Ou bien rouler dans les terrains les plus défoncés. L’ensemble du vélo encaisse sans problème les chemins ornés de cailloux et autres passages complexes. Le vélo reste bien stable à faible vitesse et on place les roues précisément.
Il n’y a que la position un poil sportive qui pourra déplaire à certains à la recherche d’un Gravel plus « cool ». Le Crosshill est définitivement une véritable machine à tout faire !
